Des galions transportant en Espagne pépites et lingots du Mexique et du Pérou; et aussi des vaisseaux rapportant des richesses d'Indes.
Entre 1665 et 1700, le butin des flibustiers et pirates est de 300 millions de francs or, dans la seule mer des Caraïbes.
Une partie de cet or fut dilapidée, l'autre partie fut réinvestie dans d'autres aventures et commerces peu recommandables. Enfin, le reste qui nous intéresse, plus communément connu sous le nom de "trésor" disparut mystérieusement.
Mais, comment, étant "pirate" posséder une fortune, dont on ne pouvait utiliser, sans risque d'être confondu, repéré, et de finir au bout d'une corde, comme beaucoup des leurs.
En attendant, parfois des mois ou des années, de se faire oublier et de trouver par la suite, le receleur aussi roublard, voleur et téméraire que lui, pour vendre son butin. Le pirate entreposait ses richesses à l'abri sur une île déserte, dans une grotte ou une cache souterraine, dont il détenait secrètement et jalousement l'emplacement.
Un morceau de cuir, dessins, signes, rébus, une énigme, qui déchiffrés, livrera l'emplacement du trésor tant convoité, des coffres bombés cerclés de ferrures, parsemés d'énormes clous à tête ronde et regorgeant d'or, de pierres précieuses... c'est là où débute la véritable aventure, celle du rêve! et de l'imagination avant tout!
Car, si le mystère n'existe plus, la légende en est ternie et l'intérêt, n'est plus.
Le trésor est sur une île à des milliers de kilomètres, presque inaccessible, avec un climat équatorial et une végétation luxuriante. Depuis plus de trois siècles des trésors attendent, celui ou celle qui saura enfin les découvrir. Des hommes et femmes, se sont tour à tour lancés dans l'aventure pour essayer de dénicher et déterrer le fabuleux trésor qui les rendra riche pour le restant de leur jour et pour les décennies à venir.
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